
Félix & les autres est un recueil de 2 ans et demi de strips diffusés sur Instagram. Ce sera un livre de 192 pages, en impression Pantone, au joli format de 14 x 16 cm sur du beau papier.

Je m’en vais à présent vous conter ce projet sous la forme d’un entretien fictif avec Augustin Trapenard.
« Mais qu'est-ce que ça raconte, ta BD ? », demande Augustin Trapenard de sa voix suave.
Grolapin : Eh bien, Augustin, ce sont des petites histoires de deux pages, où l’on suit Félix mais aussi sa famille ; Léo, son frère, et Véronique, sa mère, deux personnages hauts en couleur, l’un punk et l’autre moustachue. On voit Félix évoluer à l’école notamment, entouré de ses camarades de classe ; Hervé, Jérémie, Sophie et leur instituteur, tous exaspérés par le comportement de Félix.
Augustin Trapenard : « Félix, je dois dire que j’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi éloquent que vous. Et je pèse mes mots. Pouvez-vous nous en dire plus ? »
Grolapin : Je peux pas mieux décrire l’histoire que ça, sinon après ce serait du spoil et croyez-moi… la fin du livre va vous étonner…
« Bien. Et racontez-moi un peu votre parcours, dont je suis sûr qu’il a été riche en rebondissements et en anecdotes savoureuses ! », s’exclame Augustin Trapenard.
Grolapin : J’ai commencé à faire des BD sur Instagram en 2020-2021, j’avais commencé par un faux journal intime où je racontais des histoires loufoques à travers un personnage un peu benêt, inspiré de moi-même. J’ai raconté ces petites histoires pendant un peu moins d’un an. J’aimais bien faire des BD sur Instagram mais je voulais changer de personnage et c’est là que j’ai commencé à raconter la jeunesse de Félix. Au début, c’était seulement avec sa mère et son frère que les strips se déroulaient, puis l’école est arrivée et c’est ce qui a mené à la BD sous sa forme finale, telle qu’on pourra la retrouver dans le livre.

« ET COMMENT UNE COLLABORATION ENTRE VOUS ET EXEMPLAIRE A PU VOIR LE JOUR ???? », crie Augustin Trapenard. *il se tape violemment la tête contre une table*
Grolapin : Voyons, Augustin, un peu de tenue, pas la peine de vous mettre dans tous vos états. Figurez-vous qu’un jour, Salomé Lahoche m’a appelé pendant que j’étais en train d’acheter un étendoir à linge – ou un tancarville, selon la région ou vous êtes –, pour me demander si je voulais avoir de l’argent pour faire mes BD. Ce à quoi j’ai répondu que « oui j’étais chaud ». Elle-même étant éditée chez Exemplaire pour son livre La vie est une corvée, elle a pu appuyer et défendre mon dossier face au comité d’édition de la susdite maison d’édition Exemplaire, qui, après moult arguments, a dit « oui on est chaud ».
« … hu… hu… », grommelle Augustin Trapenard, qui est dans un état de transe.
Grolapin : Je suis ravi que mon premier livre soit chez Exemplaire parce que c’est une maison d’édition qui permet une meilleure rémunération des artistes ; en finançant un projet, vous permettez à des auteurs et autrices de vivre décemment. Et aussi, il y a plein d’artistes dont j’adore le travail qui y sont édités et du coup, je peux flex un peu.
Les goodies pour vous remercier de votre soutien !
“Devant tant de beauté des larmes peuvent couler”





*L’illustration sera différente de celle ci-dessus*

Merci tout le monde de me faire confiance, c’est sympa ! Et merci à toutes les personnes qui suivent mon travail sur les réseaux et qui permettent à ce projet d’exister.